CUISINE  JAPONAISE

 Aujourd'hui le chef

Bourriquet en farfouillant dans ses recettes, a retrouvé  une recette de chou d'un de ses collègues japonais vivant à Chiba (ville située à une trentaine de kilomètres de TOKIO. Il vous la donne en gentil âne qu'il est...

SALADE DE CHOU  A LA POMME

         Ou en bon  japonais  HAKUSAÏ TO RINGO NO SUNOMONO 
    
 

Donc  pour 4 personnes ,procurez vous les ingrédients suivants  dans une épicerie asiatique

Du vinaigre japonais

Du chou chinois

du  togarashi       

de l'écorce de yuzu

INGREDIENTS

Un chou chinois dont vous retirez
3 à 4  belles feuilles
1/2 pomme (verte de préférence)
1 cuillere à café. de sel
 
3 cuilleres à soupe de vinaigre japonais
- 1 cuillère a soupe de sucre
 1 pincée de sel
la demie de  togarashi (coupé en rondelle)
 de l'écorce de yuzu

La préparation pour les rapides est d'une trentaine de minutes 

   

Vous  commencer par coupez le chou chinois en lamelles de 3 ou 4 cm.

Attention, il faut coupez le côté  du  trognon en lamelles dans le sens de la longueur et la partie des feuilles dans le sens transversale.

Ensuite vous le déposez dans un bol, puis vous le soupoudrez de sel  en remuant les feuilles avec de façon à les enrober.

Vous  laissez reposer une dizaine de minutes, puis vous rincez  et égouttez  bien comme il faut.

Pendant ce temps de pose, vous épluchez et retirez le cœur de la pomme. Vous la coupez  en deux  et ensuite  vous faites des tranches très fines  comme pour une tarte.(environs de 4 mm) 

Vous préparez la sauce en mélangeant le vinaigre et le sucre, vous y ajoutez les feuilles de chou coupées et la pomme ainsi que la moitié du  togarashi coupé en rondelle

Mélangez  le tout et  garnissez d’écorce de yuzu.

Nota bene

Si la pomme  que vous choississez est assez sucrée, il  vous faut mettre moins de sucre que prévu  dans la recette

Loopy & Bourriquet (septembre 2008)

 Bourriquet& Cie vous offre la suite  du mystère Anastasia en espérant que cette partie passera moins inaperçue que la premiere...

L'INCONNUE de BERLIN

II

En cette soirée d’ hiver 1920 à Berlin , Allemagne, une femme pauvrement vêtue marche le long du canal de la Landwerh, quand soudain elle se laisse tomber dans ses eaux sombres et glaciales, proche de là un policier apercevant une ombre se débattant dans le canal, vient à son secours en plongeant à son tour et saisissant la jeune femme il la ramène sur la grève.

Les policiers constatent que la victime est une jeune et jolie femme ne possédant aucun papiers, elle ne répond pas à leurs questions, en fait elle ne prononce aucun mot, ils la conduisent vers l’hôpital le plus proche. Les infirmières lui retirent sa jupe et ses bas noirs trempés ainsi que sa chemise de drap bon marché et la couche dans un lit où l’inconnue reste couchée plusieurs semaines sans dire un mot le regard vide en fixant les murs. Jusqu’au jour où elle commence à balbutier quelques mots en allemand, répétant comme un leitmotiv :

Ich will nichts von Ihnen kennen (Je ne veux rien savoir de personne)

Puis plus d’un mois s’écoule sans qu’elle ne redise quoi que ce soit et fin mars, l’ inconnue est envoyée dans un asile psychiatrique.

La jeune femme se révèle être une personne calme, lisant énormément. Une année est déjà passée depuis son internement et on ne connaît toujours pas son identité. Parfois, lorsqu’on tente de prendre une photo d’elle ,cela lui déclenche des crises hystériques.

Un jour une certaine Marie Peuthert dans la cinquantaine, blanchisseuse de son état se retrouve être voisine de chambre de l’inconnue, c’est aussi une ancienne couturière de la famille impériale de Russie. Les deux femmes échangent quelques mots jusqu’au jour où Marie lui montre une photo prise dans un journal représentant les trois grandes duchesses de Russie, en lui disant :

Je sais maintenant qui tu es ! grandement troublée l’inconnue lui ordonne sèchement de se taire. L’ancienne couturière réussit à ce procurer le Gotha ,annuaire de la noblesse européenne, bien décidée à prouver ses dires, concernant l’identité de sa voisine de lit. Cette dernière se met à dévorer le livre, relisant le Gotha encore et encore, durant les semaines qui suivent. En Janvier 1922 Marie quitte l’asile en faisant la promesse à l’inconnue de se consacrer à elle .

Texte de Loopy&Cie(Septembre 2008)

A suivre...prochainement

Prochain épisode :

Anastasia ? ou Anna ?

Nous nous efforcerons de vous faire voir les endroits les plus pittoresques des environs  dit Carbury, tortillant sa moustache en broussaille.

De taille moyenne ,trapu et sans élégance , le colonel était à moitié chauve et ses yeux bleus avaient un regard doux et rêveur.

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Pourquoi choisir cette lecture ?

Aujourd'hui Bourriquet & Cie a décider de créer une nouvelle rubrique intitulée

LES CHRONIQUES MYSTERES DE BOURRIQUET

qui  on l'espère vous interessera.

En effet Bourriquet  grand  enquêteur  et surtout grand curieux  des mystères de l'Histoire,va ce déguiser en détective du passé afin de vous ramener  toutes sortes d'énigmes historiques.Certaines ont déjà été résolues d'autres pas...

Alors bonne lecture avec la première partie  du Mystère Anastasia

Loopy &Bourriquet (septembre 2008)

Saviez vous  que l'HALVA n'est pas uniquement une friandise  arabe ...même si ce mot  en  est dérivé ...

Saviez vous  que le HALVA  ou  plus exactement ḥalwā  est  un mot d'origine arabe qui siginifie  sucré on l'écrit d'ailleurs de plusieurs façons comme HAWA , HALVAH,  HALAVA,  HELVA , HALAWA ... bref  son orthographe  se différencie selon le pays où on le fabrique.

Ce mot décrit de nombreuses sortes de confiseries à travers le Maghreb,le Moyen Orient les Balkans le Caucase la Turquie,  l'Inde Il y a autant de recettes que de pays  pour fabriquer cette friandise ...

Par exemple  on retrouve le Halva à base de semoule plutôt en Turquie, au Pakistan et en Iran(Perse)

  Une autre  sorte dont la base  elle est le TAHINI (pâte de sésame) se retrouve plus  autour de la Méditerranée orientale, dans les Balkans ou dans les pays comme Istrael,la Palestine, Le Liban et la Grèce .

On peut  aussi fabriquer le HALVA  avec toutes autres sortes d'ingrédients comme  les graine de tournesol tels que les graines de tournesol ,certain types de noix des  lentilles et des haricots...

On peux même se servir de quelques légumes tels que la courge, la carotte et l'igname .

Voyez vous il y toutes sortes de façons de faire aussi bonne les unes que les autres  un peu comme nos confitures...

En majorité les différents types  de halva  sont des confiseries assez denses et sucrées avec du miel ou  du sucre.

Par contre selon leurs ingrédients de base , leurs textures sont  relativement différentes. 

Prenons  le "halva de semoule"  lui est est gélatineux et  transparent, alors  que le "halva à base de Tahini" est plus sec et plus friable. C'est d'ailleurs le plus répandu dans nos pays.

Le halva,fabriqué  et dégusté sur le continent indien, en Iran et dans les pays limitrophes Turquie Grèce Albanie etc.. est plutôt fait avec la semoule de blé du sucre  ou du miel  du beurre (ou de l'huile) auquel  on ajoute, soit des raisins ,des dattes et autres fruits secs.

Un petite anecdote  pour terminer cet article de la rubrique le Saviez vous ?

Hé bien Savez vous  que  les Pieds Noirs d'Algérie nomment cette gourmandise "Caca de cheval"

Vous pourrez trouvez une recette du Halva grec dans  la rubrique

 cuisine du Monde

Bourriquet &Cie (septembre 2008)

Cette recette  est destinée en Petite May en particulier .Bourriquet  a téléphoné à un de ses amis,un petit âne grec et lui a demandé la recette du HALVA

Donc  May  si tu es assez gourmande et courageuse pour la faire   Bourriquet & Cie te fais cadeau de la recette à défaut de pouvoir t'en offrir en "Pattes" propres ...

Visiteurs qui passez  par le p'tit coffre  vous pouvez bien sûr récupérez cette recette...

RECETTE DU HALVA (à la grecque)pour 6 personnes

Temps de préparation 30 minutes environs 

 (Pour les tortues comme moi, prévoir le double)

INGRÉDIENTS

• 250 ml de lait
• 250 ml d'eau
• 200 g de semoule fine
• 250 g de sucre
• 150 g de beurre
• 150 g d'amandes en poudre
• 6 clous de girofle
• 1 c. à café de cannelle en poudre
• 1 gousse de vanille ou de l'essence de vanille 

Temps de cuisson : 15 minutes

Temps de repos : 12 heures

PREPARATION  :

Tu fais fondre un peu de beurre dans une grande poêle, fais-y blondir les amandes puis retires les.

Ensuite tu fais fondre le reste de beurre et verses la semoule dedans.

Tu laisses cuire 5 minutes en remuant sans arrêt.  La semoule doit à peine être colorée.

Puis tu fais bouillir l'eau et le lait auquels tu ajoutes le sucre, la gousse de vanille fendue en deux (Ou bien quelque gouttes d'essence de vanille) et  les clous de girofle.

Verses  la semoule et les amandes dans ce liquide (Eau lait)  qu'en il est en ébullition.

Tu fais épaissir à feu  tout doux en remuant sans arrêt.  Tu arrête aussitôt que la masse se détache des bords de la casserole.

 Ensuite tu soupoudres avec la cannelle et  tu mélanges.

Verses la préparation dans un moule et  tu la tasses bien

Puis tu mets au frigo  pendant 12 heures.

 Tu coupes  en cubes et tu te régales  à ma place ...

(Recette de Cassandra)

Moi je ne l' ai pas essayée mais mon amie  Oui et c'est aussi bon que dans le commerce...

Loopy & Bourriquet

Si vous désirez en savoir plus sur Le Halva rendez vous  dans la rubrique LE SAVIEZ VOUS où Bourriquet vous expliquera ce que c'est .

Ils disaient qu’il etait le jardinier du Paradis où vivaient les premiers  hommes. Il était laid, sa tête était longue et Barbue. Il possédait de grandes richesses : des maisons en pierres vertes précieuses, d’autres faites D’argent , de coquillages colorés et blancs. Il avait des turquoises, des oiseaux extraordinaires et Des plumes somptueuses. Il avait aussi tout ce qu’il fallait pour boire, manger et s’habiller. Et il possédait de plus, une abondance d’arbres de cacao ( cacahuaquahitl )dont il avait appris la culture aux Mayas.

Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais vint le temps où s’acheva la fortune De Quetzacoatl et des Mayas.

Trois sorciers jaloux de leur bonheur et de

leur richesse vinrent à Tula au Mexique.

L’un d’entre eux, Le magicien Titlacauan,

prit la forme d’un vieillard chenu et vint trouver

Quetzacoalt. Il lui dit : 

 " Seigneur, je t’apporte un breuvage qui est bon et qui enivre celui qui le boit ; il t’attendrira le cœur, te guérira et te fera connaître la route de ton prochain voyage au pays où tu retrouveras la jeunesse ".

Quetzacoalt but la potion et perdit la tête. Il fit brûler toutes ses maisons d’argent et de coquillages, fit enterrer ses trésors dans la montagne et dans les lits des rivières et transforma les arbres de Cacao en une autre espèce qui ne donnait ni Fève, ni fruit.

                                                                                                                               Puis il quitta Tula pour le pays où il pensait retrouver la jeunesse, en direction du soleil Levant, vers l’Est. Il embarqua, paré de plumes, sur un radeau fait de serpents entrelacés*, en promettant de revenir un jour, lors d’une année placée sous le signe du roseau. Il reviendrait à l’endroit même d’où il partait pour rapporter à son peuple tous les trésors du Paradis.

 Quant à ce brave Bourriquet , alors lui il en raffole  surtout dans ses coups de déprime et comme c''est un p'tit âne curieux malgré son air endormi , il a entrepris des recherche dessus qu'il vous livre ici.

Tout le monde sait, que le chocolat  trouve ses origines au Mexique mais savez vous  dans quelle région de ce pays d' Amérique du Nord ? (Non! le Mexique n'est pas en Amérique du Sud comme on le pense souvent)Hé bien au Yucatan pour commencer.

Car au Mexique, un grand arbre aux gousses remplies de fèves blanchâtres pousse depuis plus de 3000 ans. Cet arbre, le théobroma cacao du moins, porte t il ce nom aujourd'hui était connu par les Aztèques, les Mayas et les Toltèques

.À l'origine, c'est en observant les singes et les écureuils sucer la pulpe rafraîchissante, qui enserre les fèves, que les hommes eurent l'idée de faire la même chose. Ils se mirent alors à consommer les fêves elles-mêmes.  Mais qui eut l'idée un jour de les griller et de les écraser pour en faire une pâte ? cela on ne le sait pas et c'est là que commence la grande aventure du chocolat

Ce que l' on sait par contre  c' est  que c'est exactement dans la presqu'île du Yucatan, que les Mayas furent les premiers à employer les fêves de cacao comme monnaie suivis des aztèques. 

Ils s'en servaient   principalement pour les paiements des impôts et les achats d'esclaves .

Puis plus tard les mexicains en firent une boisson très reconstituante et fortitiante qu'ils nommèrent le XOCOALTL signifiant eau amère

Petit à petit  la  culture de cacaoyer gagna  toute l'Amérique centrale et fut cultivé par d' autres indiens qui en firent aussi une boisson.

Ils préparaient ce breuvage  à l'aide de fèves de cacao (cacahuatl) grillées et broyées sur des pierres brûlantes. La pâte obtenue était chauffé puis mélangée avec de l'eau, on y ajoutait de la vanille, du poivre, de la cannelle, de l'anis, etc...

En fait  C'est Christophe Colomb  qui fut le premier européen à découvrir le cacao en 1502 sur la petite île de Guanaja (actuel Honduras), mais il ne prêta aucune attention à ces vulgaires "amandes"  et il  jeta  donc par-dessus bord les fèves qu'il avait reçu des Amérindiens : On dit que  l'explorateur les aurait prises pour des crottes de chèvre  privant ainsi la France de la découverte.

En 1519, un espagnol,  Hernán Cortès débarqua au Mexique et entreprit la conquête du pays.

L'empereur Montezuma  

pour l' accueillir lui offrit un breuvage préparé avec du cacao Cortes, qui l' apprécia et écrivit : lorsqu'on en a bu, on peut voyager toute la journée sans fatigue et sans avoir besoin d'autre nourriture.

En 1524, Les espagnols ramenèrent  avec eux, cette boisson  qu'ils  présentèrent à la cour  de Charle Quint comme ayant des effets aphrodisiaques. Suite à cela, le monopole du cacao  fut réservé aux espagnols.

Le cacao apparut en Italie en 1594 grâce à Francesco Carletti.

En 1615 , ce sont les juifs d'Espagne chassé par l'inquisition qui l'introduirent en France.

Mais on préfère dire que les français découvrirent le cacao avec le  mariage d'Anne d'Autriche, fille de Philippe III d'Espagne

 avec Louis XIII,parce que la nouvelle reine de France fit partager rapidement son goût pour le chocolat à toute la cour et au clergé, on raconte que les premiers spécialistes en chocolaterie furent les moines : le clergé avait un goût délicat et était réputé pour leur gourmandise...

En mai 1659, Louis XIV accorda  pour 29 ans  une lettre patente à David Chaillou, un officier de la reine,  originaire de toulouse ,le privilège exclusif de faire,de vendre et  de débiter un certain breuvage se nommant chocolat ". David Chaillou fut donc le premier chocolatier de Paris en ayant une boutique  située rue de l'arbre sec .

A cette époque, le chocolat était surtout connu et apprécié à la cour, chez les religieux  et les médecins.D'ailleurs les apothicaires commencèrent à entrevoir  dans cette boisson exotique  des  vertus thérapeutiques, ceci au grand dam de l'église ...

Le monopole de David Chaillou prit fin en 1693. Le chocolat fut alors fabriqué par un certain nombre d'apothicaires et marchands d'épices.

La technique de préparation à l'époque restait proche de celle des mexicains.

L'ouvrier  chocolatier ,travaillait à genoux et broyait le cacao à la main avec un cylindre sur une pierre inclinée chauffée.Puis  1732,  un certain Dubuisson apporta  un premier perfectionnement en inventant une table chauffée horizontale devant laquelle l'ouvrier  put travailler debout.
La fabrication s'améliora  grâce à un dénommé Doret qui inventa une machine hydraulique pour broyer le cacao et le réduire en pâte, allégeant ainsi le travail des ouvriers. 

En 1770 on inaugure la première chocolaterie industrielle, puis en 1815 les usines Van Houten à Amsterdam, Cailler en suisse en 1819. Les premières véritables usines furent celles de Menier dans la région parisienne. 

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L'origine des mots " cacao " et " chocolat " est très contreversée. Pour les uns, le mot chocolat composé de " choco " : bruit et de " alte " : eau, dériverait des mots aztèques " tchoco " et " lattle " signifiant le bruit fait par le batteur de chocolat quand il remue la boisson dans la chocolatière avec un moulinet. Pour d'autres, le mot cacao est d'origine aztéco-mexicaine et dérive des mots :

Cacahualt : cacao
Cacahuaquahuilt : cacaoyer
Cacahuazinlte : cabosse
Quand au mot chocolat, il aurait une origine maya et dériverait du mot : xocoatl.

Le mot latin primitif du cacaoyer était " amygdala pecunaria ", c'est à dire "amande monétaire", ce qui montre que ses grains furent d'abord un moyen de paiement.

(Extrait de l'encyclopédie Larousse)

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Le chocolat est obtenu par la fermentation, la torréfaction, et le séchage des fèves amères.

Riche en glucides ,lipides et calories,il apporte aussi du magnésium, du potassium, du fer,du calcium et des antioxidants reconnus pour leurs propriétés.

Des études scientifiques sérieuses ont  de plus mis en évidence  la présence d'anandamide qui est un neurotransmetteur dont les effets sont proches du cannabis.

Il procure un certain bien-être, produit par la secrétion de sérotonine qu'on appelle aussi l'hormone du bonheur,ce qui pourrait expliquer l'accoutumance observée chez les gros consommateurs. 

A l'heure actuelle, le culture du cacaoyer n'est plus l'apanage du Mexique car  neuf pays représentent  l'essentiel de la production de cacao :

Il y a :

l'Afrique  avec la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Nigéria, le  Cameroun

L' Amérique Latine et Centrale  avec le Brésil, l'Equateur, la Colombie.

L' Asie du Sud-Est  avec l'Indonésie et la Malaisie.

Petite anecdocte , la Suisse, elle fut le dernier pays d'Europe à connaître le chocolat, par le biais de marchands italiens, en 1750.

 Pour terminer vous pourrez lire  une légende des Mayas à propos du chocolat dans la rubrique  Contes et Légendes.

Texte Loopy et cie (septembre 2008)

Voilà  maintenant je vous invite à aller goûter un bon chocolat  comme nous allons faire Bourriquet et moi