Le mercredi 6 février 2008

Fête du Têt ou nouvel an chinois

Bonne année  du rat  de terre !

à tous les vietnamiens et chinois de passage ici

Mậu Tý

Hé oui demain le 7 février 2008 c'est pour les vietnamiens ,la fête de du Têt  (de son nom entier :  Lễ tết nguyên đán ) ou si vous préférez le nouvel an chinois.Nous entrerons dans l'année chinoise WU -ZI (25) du cycle 78 du calendrier lunaire,Ou pour faire plus simple nous serons en 4705.

Vous trouverez d'ici peu  sur ce blog,la légende du Têt et ses coutumes,disons le pourquoi et le comment.L'une dans la rubrique contes et légendes et l'autre dans récits.

Pour le moment Bourriquet et Cie  vous envoient tous leurs voeux  de bonheur, prospérité et longivité à l'occasion de cette nouvelle année.

En attendant je vous dis en vietnamien :

Chúc Mừng Nǎm Mới

Légende du Québec

BONJOUR VISITEURS !

Vu que cela fait un bail maintenant que nous restons au Québec, il me  semble qu' il serait de bon ton que je publie une légende de cette région du Canada trois fois grande comme la France et où les contes pullulent.

Mon cher Bourriquet est tout à fait d' accord  sans être du Québec ce dernier est quand même canadien !

Il y en a tellement que je ne savais pas laquelle choisir quand un matin en écoutant la télévision  j' ai entendu parler de la légende du chien d' or et zou j ai envoyer Bourriquet à la bibliothèque me chercher un livre dessus  ( hé oui! j' adore le net mais préfère trouver mes sources dans mes vieux copains les bouquins ) Donc en voici une adaptation à ma manière.

Sur une façade de l' immeuble Louis Saint Laurent datant de 1688, situé dans le vieux Québec,tout en haut de la côte de la montagne, On peut distinguer sur un bas relief  la sculpture d' un chien couché rongeant un os et sous lui ce trouve un quatrain en lettre d' or, quoique

la première ligne ce trouve au dessus de ce chien. Voici ce que vous pouvez lire :

Je suis  un chien qui ronge l' o *

En le rongeant, je prends mon repos.

Un temps viendra qui n' est pas venu

Que je morderay* qui m' aura mordu.

(*ceci est du vieux français et non pas des fautes  ! )

On date du 18 ème siè cle cet énigmatique couplet et  il reste un mystère historique. Bien sûr pas mal de versions on été données afin de percer ce secret et cela sans succès jusqu' à présent car on ne sait toujours pas la réelle signification de ces quatre phrases.

L' une des premières hypothèses fût émise par le capitaine anglais Mr Knox en 1759, lorsqu' il pénétra  dans la ville de Québec.

Pour lui le chien étant l' expression de la fidélité, Il représente le français qui se bat pour son roi et son pays et cette prose inquiétante s' adresse aux "Sauvages"( Ma foi pourquoi pas aux anglais) ...

Cela serait-il plausible ?

Par contre la théorie la plus vraisemblable à été écrite par le romancier Monsieur William Kirby auteur de l' histoire  du chien d' or , ce qui le rendit célèbre.

Au 18 ème siècle,un commerçant dénommé Nicolas Jacquin Philibert, avait  dû s' exiler en Nouvelle France à cause d' intrigues fomentées par un certain sieur Bigot.Arrivé à Québec  Phillibert acquière en 1734  la fameuse maison au fronton ,construite par un certain Thierry Roussel vers 1688.Quelques années passent et le sieur Bigot débarque à son tour à Québec en tant qu' intendant de Nouvelle France.La légende dit que ce dernier vit l' inscription sur la bâtisse de son vieil adversaire et cru à une menace de Phillibert.Bigot décida donc de  le faire assassiner par un certain Jean -Baptiste -François-Xavier  Le Gardeur de Repentigny.Malheureusement juste après avoir porté le coup fatal au pauvre Philibert,Le Gardeur s' aperçoit qu' il vient de tuer le père du bien aimé de sa  soeur  brisant par la même occasion le coeur de cette dernière qui finit par se réfugier chez les Ursulines où elle prendra le voile. L' assassin se livre donc à la justice  puis par repentir s' engage dans les armées de Montcalm pour défendre la ville de Québec et mourra en combattant.

Une autre version raconte qu'en fait c' est à la suite d' une dispute stupide au sujet d' un billet de logement avec le sieur Phillibert devenu aubergiste que Le Gardeur de Répentigny

le  frappa d' un coup d' épée mortel à la poitrine et qu'en vérité il prit la poudre d' escampette le jour même, de peur d' être accusé de meurtre et qu' avec l' aide d.amis il se réfugia au Fort Frédéric.

Les rumeurs dirent que la veuve de Phillibert resta inconsolable de l' assassinat de son mari et que c' est elle qui fit graver l' effigie du chien d' or au fronton de la maison, sise à l' époque rue Buade. Puis elle éleva ses enfants dans la haine  du meurtrier de leur père leur distillant chaque jour, l' idée de la vengeance,leur répétant que plus tard, leur  premier devoir serait de retrouver l' assassin de leur père afin de le tuer à son tour ainsi son âme serait apaisée.

Alors  Quant-il eut atteint ses 22 ans,le fils de Phillibert,se mit à la recherche  de Le Gardeur, parcourant maints lieux ,jusqu'à ce qu'il  retrouve sa trace à Pondichéry aux Indes françaises.Pour accomplir la vengeance tant réclamée par sa mère,Il provoqua  le sieur Legardeur de Repentigny en duel et juste retour des choses, le tua d' un coup d' épée, ainsi Phillibert fut vengé.

Il est important de faire remarquer  que les personnages de cette légende, ont réellement existés dans l' Histoire  du Québec. Si on retrouve pas mal de variations de cette histoire, c' est  qu' au Québec les conteurs se passaient les légendes de bouche à oreille et qu' elles  se retrouvaient  souvent enrichies ou différentes selon les régions.L'adaptation du roman de W.Kirby" Le chien d'or",servit aussi de base à une de ces variations.

Ma foi comme dans toute légende il y a un fond de vérité et il existe justement peut être une vérité historique  sur cette dramatique histoire qu' est la légende du chien d' or. Mais cela est une toute autre histoire...

Texte de Loopy&Bourriquet

Nous  souhaitons Bourriquet et moi , vous avoir intrigué  quelque peu ou du moins  intéressé...

Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez lire le roman de William Kirby   dont on à tiré  la légende du chien d' or.

N' oubliez pas un p' tit commentaire afin de nous faire savoir  si vous avez aimé. Merci

.

  Article du 13 fevrier 2008

Me revoilà avec mon Vietnam ! qu'elle casse pied celle là vont peut-être penser certains, mais cette fois pour une bien belle légende.

Donc pour ceux qui apprécie voici un conte que j'ai choisi en fonction de la saint Valentin, quoique j'ai hésité car cette dernière fête est passée depuis un petit bout. Mais si cela vous intéresse rien ne vous empêche de me suivre au temps où ce passe cette histoire...C'est à dire au Vietnam il y a environs 2600ans.

LA LÉGENDE DES TRÂU CAU

ou La Chique de bétel

Autrefois,il y a bien, bien longtemps vivaient dans le lointain royaume de Van Làng (situé près de l'actuelle Hanoï ) deux jumeaux nommés Cao Tân et Cao lang. Leur ressemblance était telle,que pratiquement personne n'arrivait à les distinguer l'un de l'autre.

Dans la région vivait aussi un vieil érudit dont l'unique fille possédait une immense beauté alentours.

Le vieil homme dispensait son savoir aux deux frères et n'ayant point de fils se prit d'affection envers eux. Désirant marier sa si jolie fille à l'un d'eux,il avait cependant un penchant marqué pour l'aîné car dans la tradition vietnamienne l'aîné se devait d'être marié le premier. Mais voilà le hic ! qui des deux était le plus âgé? dur à dire avec des jumeaux miroirs.

Alors notre bon vieux maître eut recours à une astuce personnelle,il les invita tous deux à dîner en sa demeure et décida que celui qui saisirait les baguettes le premier serait l'aîné.

Ce fut Cao Tân qui fût désigné comme premier né et eut ainsi l'honneur d'épouser la belle jeune fille,d'aucun ne se douta nullement de l'ardent amour que le cadet Cao Lang vouait dans le secret de son coeur à cette dernière.

En ces temps reculés on ne badinait pas avec le mariage donc l'union de ces deux êtres fût heureuse et sans faille et Cao lang se tût pour toujours.

Cao Tan aimant son frère cadet fit tout pour le rendre heureux sauf que ce pauvre Cao Lang dépérissait quand même de cet amour interdit.

Il décida donc pour tâcher d'oublier,de s'éloigner de ce couple heureux et surtout de sa bien aimée secrète. Il partit un jour à l'aventure, marchant tant et si bien qu'il mourût de fatigue sur la route et fût transformé en bloc de calcaire d'un blanc très pur.

Cao Tân son grand frère en ressentit un choc au milieu de la nuit et s'inquiétant du sort de son cadet partit immédiatement à sa recherche

Il suivit alors la même longue route... Puis un beau matin, il tomba en arrêt devant le bloc de calcaire blanc lorsque subitement il perdit la vie.

Cao Tâm lui se métamorphosa en bel arbre aux palmes d'un vert éclatant , donnant de petits fruits ovales .Ce grand arbre jours après jours étendit de plus en plus sa ramure et son ombre, au dessus du bloc de calcaire comme pour le protéger du mauvais temps.

Palmier d'arec Noix d'arec

Inquiète, l'épouse de Cao Tân ,sans nouvelles de son mari ,décida de quitter sa demeure à son tour afin de le rechercher.

Battant la campagne sans cesse,parcourant des villages,un jour elle finit elle aussi par arriver près du bloc de calcaire, épuisée par tant d'efforts,la délicate jeune femme s'écroula au pied de l'arbre et mourut à son tour d'épuisement .

Soudain elle fut changée en une superbe plante dont les lianes s'enroulèrent autour du tronc avec de larges feuilles d'un vert merveilleusement éclatant en forme de COEUR.

Voilà c'est pourquoi, depuis on ce doit d'observer une coutume lors de la fête d'un mariage vietnamien, qui est celle de dispenser parmi les cadeaux offerts : Du BÉTEL,des NOIX D'AREC et des FEUILLES D'UN BEAU VERT en forme de COEURS pour symboliser une UNION ÉTERNELLE.

Texte remanié et résumé par Loopy

Noix d'arec,Feuilles de bétel en offrande aux mariés

Récit de Loopy &Bourriquet

LA LÉGENDE DES TÀO QUÂN

Le Têt ou plus exactement autrefois le mythe des "Tào Quân" s'appuie sur la triste histoire d'un bûcheron et de sa femme.

Ces gens n'étaient pas bien bien aisés mais vivaient heureux jusqu'au moment où l'homme découvrit qu'ils n'auraient jamais d'enfants.Alors il commença à boire tant et si bien qu'il devînt violent avec son épouse. Cette dernière ne voulant plus accepter les coups injustes, le quitta pour épouser un chasseur d'un village proche.

Un jour, malade de solitude et de regrets, le bûcheron se décida à aller faire une visite à son ex femme pour s'excuser auprès d'elle. Sur ce, le chasseur rentra chez lui. Pour éviter un conflit entre les deux hommes, la jeune femme dissimula son premier mari dans une étable garnie d'un toit en paillote, voisine de la cuisine où justement le chasseur était en train d'allumer un feu dans l'âtre. Par malheur, une étincelle s'envola du foyer et enflamma l'étable. Paniquée, l'épouse se précipita dans l'étable en feu pour porter secours au bûcheron son premier époux. Son second mari, s'élança à son tour pour la sauver mais hélas ils brûlèrent vifs tous trois.

Du Haut de son trône céleste, l'empereur de Jade, énormément ému par cette triste fin, décida de diviniser les trois pauvres malheureux et les chargea dorénavant de veiller au bien-être des humains dans leur demeure, c'est pour cela que depuis on leur doit la position avantageuse de la cuisine.

Ainsi ils devinrent donc les Génies du Foyer.

Résumé par Loopy d'une légende du Vietnam.

C'est pour cela que depuis, une semaine avant la fête du Têt, chaque famille vietnamienne, procède à la cérémonie d'adieu aux Génies du Foyer.

Car ceux-ci doivent en effet, faire un long voyage jusqu'au Ciel pour présenter leur rapport annuel à l'Empereur de Jade sur les bonnes et les mauvaises actions de la famille au cours de l'année écoulée.

Pendant cette semaine les vietnamiens, ont peur que leur demeure soit sans protection. Alors pour la protéger de toutes visites de mauvais esprits, ils construisent devant chez eux un CÂY NÊU, c'est à dire une immense perche de bambou sur laquelle ,on attache des plaques d'argile bruyantes dites (KHANH) et tout en haut de cette perche, un bout de tissu de couleur jaune.

Évidement, actuellement, cela ne se fait encore que dans les campagnes .

L'origine de cette coutume est tirée,d'une légende Bouddhiste appelée " LE TÊT DU BÛCHERON"d'après laquelle les tous premiers habitants du royaume de VANG LANG (Premier nom du Vietnam actuel) durent se battre férocement contre des esprits maléfiques.

C'est pour cela que le jour du Têt, le peuple vietnamien, a l'habitude d'offrir de nombreux cadeaux alimentaires

tel que :

Fruits, mets spéciaux et en particulier des sucreries, de préférence bien collantes, aux Génies du foyer, afin de les empêcher d'ouvrir la bouche et de dire du mal d'eux devant l'Empereur de Jade.

On leur fabrique aussi, un équipage et des costumes de papier miniatures ainsi que toutes choses qui leur serviront dans leur longue route vers les cieux. Bien sûr pour s'attirer les bonnes grâces de ces trois esprits du foyer, on leur offre tout ceci dans la cuisine où pour l'occasion, la famille procède à une cérémonie d'adieu devant leurs effigies.

Chaque année, le Têt est la fête du renouveau du ciel et de la terre.

CHÙC MUNG NÀM MOÌ 2008 À TOUS

(Bonne année 2008)

Article du jeudi 31 janvier 2008

Aujourd'hui,grande ouverture de

LA CUISINE DE BOURRIQUET.

Ce dernier vous a concocté diverses recettes trouvées tout autour du monde et vous invite à en prendre connaissance et à vous régalez.

Alors à vos fourneaux !

Article du dimanche 3 février 2008

Les fajitas au poulet

Article du dimanche 24 février 2008

Dessert vietnamien

XIN CHÀO tout le monde ou si vous préférez BONJOUR

Bourriquet et moi-même avons décidés de vous offrir un p'tit coin repas consacré à la cuisine familiales du Vietnam que nous pratiquons nous même depuis de nombreuses années et donc pour commencer voici un petit dessert vietnamien très simple à réaliser et de surcroît très bon aussi.

Ce dessert extrêmement populaire au Vietnam est le :

LE CHÈ BÀP

Quantité pour 4 personnes environs

INGRÉDIENTS

• 200 ml de lait de coco

• 100 ml d’eau

• 1/2 boite de maïs

• 25 gr de billes de tapioca

• 30 gr de sucre

PRÉPARATION

Laisser tremper le tapioca dans un bol d'eau froide pendant une dizaine de 10 minutes, puis

porter à ébullition,le lait de coco mélangé à l'eau et additionné du sucre dans une grande casserole afin que cela ne déborde pas. Ensuite ajoutez y le tapioca, et laissez chauffer à feu doux pendant trente minutes ou jusqu'à ce que le tapioca devienne mou.

Pour finir ajoutez la petite boite de maïs puis mélanger

Versez dans un un récipient ou bien dans 4 bols (style chinois) laisser tiédir ensuite mettez au réfrigérateur pendant 2 à 3 heures. Servez très froid.

CHÙC ÀN NGON MIỆNG ! Ou bon appétit

Loopy & Bourriquet

A la prochaine fois, pour une autre recette du Vietnam

En attendant dites nous surtout si vous avez aimé ce dessert !

Article du lundi 25 février 2008

gourmandises vietnamiennes

Voici une autre recette de gourmandise vietnamienne simple à réaliser et délicieuse pour ceux qui aiment la noix de coco comme par exemple ma fille. À déguster avec un bon thé vert au jasmin.

BÀNH DU'À

( Boulettes à la noix de coco )

Pour 4 personnes environs

INGRÉDIENTS

• 400 gr de noix de coco séchée et râpée

• 50 gr de farine de riz gluant (on en trouve dans les épiceries chinoises)

• 200 gr de sucre

• 2 oeufs

PRÉPARATION

Pour commencer faire tremper le coco séché dans un bol d'eau froide ensuite bien l'égoutter et la sécher dans un linge puis passer la noix de coco dans une poêle sans matière grasse (utilisez une Téfal de préférence) durant une dizaine de minutes à feu moyen.

Fouettez les oeufs avec les 200 grammes de sucre et lorsque le mélange s'éclaircit, lui ajouter la farine de riz gluant puis la noix de coco râpée ensuite bien mélanger le tout.

Prenez une cuillère à soupe du mélange ci dessus que vous venez de réaliser et faites en une bonne boulette Avec vos mimines (mains) bien propres, environ grosse comme une balle de ping pong.

Disposez ces boulettes dans un plat légèrement beurré et enfournez le tout une dizaine de minute ou jusqu'à temps qu'elles soient joliment dorées.

Loopy et Bourriquet

Voilà j'espère que vous apprécierez cette seconde gourmandise et je souhaite surtout que vous me disiez ce que vous en pensez en ayant la gentillesse de laisser un commentaire Merci

Recette de Fevrier 2008

L' érable et ses recettes

Déjà  le mois d' avril  et avec lui au Québec, le temps des sucres, quand je parle du temps des sucres , il est bien évidement question de celui  de l' érable  qui comme beaucoup le savent est typiquement canadien mais surtout québécois et fait partit intégrante des traditions culinaires de la province   et est  une coutume  héritée des amérindiens.Bourriquet en gros gourmand  vous transmet donc là quelques recettes de son Grand père.Nous commencerons donc par nous sucrer le bec avec le fameux sucre à la crème dont voici une des multiples variantes.

LE SUCRE À LA CRÈME

(pour une vingtaine de  petits  de carrés environs)

Pour les INGRÉDIENTS il vous faut :

Une  demi tasse de sucre en poudre (125 ml)

Une tasses et demie de cassonade dorée (375ml)

Une demi tasse de sirop d' érable

Une tasse de crème à 35 % (250ml) ou de lait carnation

Une pincée de sel

Un quart de cuillère à thé (1ml) d' essence  d' érable

PRÉPARATION

Mettez dans une grande casserole, tous les ingrédients excepté l' essence d' érable ,bien les mélanger puis amener à ébullition en tournant avec un ustensile en bois. Prenez un thermomètre à bonbons que vous placerez au milieu de la casserole et laisser cuire à feu moyen sans remuer et lorsque le thermomètre indique 240 degrés F (116°C) ensuite ajoutez l' extrait d' érable sans remuer.

Dans une casserole,mélangez tous les ingrédients sauf l' essence d' érable et portez à ébullition en remuant à la cuillère de bois pour dissoudre le sucre.Fixez un thermomètre à bonbons au centre de la casserole et laissez mijoter à feu moyen sans remuer jusqu' à ce que le thermomètre indique
116°C(240°F).Ajouter l' essence d' érable sans remuer.

Remplir d' eau  froide un contenant dans lequel vos déposerez la casserole puis laisser refroidir  pendant une vingtaine de minutes ou bien jusqu'a ce que le thermomètre atteigne environs 130°F (55°C) et moins. Enlevez,ensuite,la casserole de

l' eau  et à l' aide d' un fouet électrique(ou manuel) battez  le mélange jusqu à ce qu' il  devienne légèrement pâle et onctueux(en principe 2 à 3 minutes suffisent) Il est IMPORTANT de ne pas fouetter longuement le mélange car il durcirait avant que vous ayez pu le verser dans un plat.

Transvasez tout de suite la préparation dans un plat en Pyrex de préférence,égalisez le dessus et couvrez d' un papier sulfurisé ou d' une pellicule plastique.Mettre une demi heure  au frigidaire  puis démoulez le tout dans une assiette et coupez en  petits  carrés  que vous conserverez dans une boîte hermétique.

Par Loopy & Bourriquet

Voilà pour les p'tits gourmands  et attention aux kilos

Dans le coffre du Bourriquet & Cie

J'espère que vous y trouverez quelques trucs qui vous

plairons

Alors n'hésitez à fouiller...et farfouiller

Nota bene : Ce blog existait déjà ailleurs il est donc en cours de réaménagement sur vefblog